À 22 ans, j’ai trouvé des réponses à cause de une magicienne à rueil
Je m'appelle Mélissa, j'ai 22 ans, je me trouve coiffeuse en séjour à malintrat pendant immédiatement trois ans. Entre les clientes, les possibilités décalés et la agitation des évènements debout, j'ai rarement du temps pour un individu. Pourtant, il y a quatre ou cinq mois, j'ai traversé une période formellement bizarre. Je venais de me distinguer de mon ami après deux ans de les liens, je me posais des thèmes sur mon futur poste de travail, et je me sentais un peu perdue. Une collègue m’a parlé de la voyance à rueil. Au début, j’ai rigolé. Pour moi, c’était un truc de vieux films, les oracles et tout le mythe. Mais plus elle m’en parlait, plus ça m’intriguait. Elle m’a affirmé qu’elle avait consulté un chiromancien sérieuse dans le point, qui l’avait aidée à prendre une décision conséquente. franchement, je n’avais rien à perdre. Un samedi après-midi, je me perçois tombée sur une pythie qui consultait en cabinet, pas loin du centre-ville. Elle avait des avis positifs en ligne, alors j’ai pris de courses, sans infiniment nous guider à quoi m’attendre.
Le réunion était un mercredi matin. J’avais posé ma matinée exprès. J’étais stressée mais insolite. Dès que je me vois arrivée, j’ai persisté surprise par la facilité du abscisse. Pas de décoration bizarre, pas d’encens à travers le monde. Juste une fonds simple, avec une ambiance voyance olivier apaisante. La voyante m’a accueillie avec le sourire, elle m’a exprimé qu’elle allait se raccorder à mes puissances et utiliser des tarot si besoin. Je ne savais relativement à quoi m’attendre. Et là, elle a commencé à énoncer. Elle a immédiate capté mes insécurités, ma intuitions d’être bloquée, mon l'intention de changement. Elle m’a parlé de mon activité professionnelle, de mes collègues, de mes limites intérieurs. C’était bluffant. Ce n’était pas une prédiction floue, c’était une efficace voyance de ma condition. Elle m’a donné des explications, mais précisément elle m’a aidée à refaire confiance en une personne. Elle m’a dit que je savais déjà ce qu’il fallait susciter, mais que j’avais envie d’un coup de pouce pour l’assumer. Ce instant fut comme une donnée. Je suis sortie du cabinet chamboulée mais reboostée, notamment si on m’avait guéri les pensées en place.